Plume d'Orage
Messages : 65 Date d'inscription : 27/12/2010 Age : 28 Localisation : hum...La où mes pattes me portent
| Sujet: Histoire de Loup Lun 27 Déc - 15:13 | |
| Ces deux histoires, je les continue de temps en temps. Je met aussi des images avec si je peux (Les titres sont des spoiler) - Une fille pas comme les autres:
Vent d'Hiver Froid et noble Loup
Orage huma le vent de l'hiver. Rien à signaler, si ce n'est que sa truffe presque gelée. Son premier hiver depuis "l'accident" s'achevait, et bientôt, elle devrait quitter sa famille. Elle en avait assez de se cacher. Surtout qu'être en louve était plaisant. Mais renoncer à ses parents...Je suis ce que je suis. Et rien n'y changera! Si elle avouait tous à ses parents, ils la prendraient pour une folle et hors de question de se transformer devant eux! Jamais! Elle se laissa revenir à son état humain puis ramassa ses vêtements. Orage, la louve, faisait partie d'elle. Mais Alan l'humaine aussi. En soupirant, elle quitta le couvert des arbres et regagna sa maison. Alan avait 14 ans, 15 en février. Ses cheveux noir d'encre et ses yeux gris-bleu faisait la fierté de la famille, tous brun aux yeux marrons. Avec ses 1m 65, elle était plus petite que son petit frère, Dimitry, qui n'avait qu'un an de moins qu'elle et mesurait 1m 74. Malgré son avantage de taille et de poids, Alan sortait toujours gagnante de leurs conflits, soit grâce à sa tête de mule, soit au fait que les garçons ont un point faible...bien placé. La jeune fille regarda une dernière fois le croissant de lune puis passa la porte de la cuisine. Aussitôt, son père lui lança: "Alors, petite grenouille, fais pas trop froid, dehors! -Papa! je t'ai dit de ne plus m'appeler comme ça! -Mais, t'es bien une grenouille, non? Avec tes lunettes et tes grandes jambes? -Sans oublier le sourire! S'exclama Dimitry, depuis le salon, -Dimitry! Tu veux jouer?! Lança Alan, -Heu, non, merci! -Ho, c'est que la ninouille se met en colère! Ricana le père, Vlan! La porte de la chambre de la jeune fille vibra sous le choc. Manque de pot pour elle, elle partageait sa chambre avec son frère. Et dans un lit super-posé, quand il y en a un qui bouge, c'est les deux qui tremble. Mais Alan avait quand même prit celui du dessus, car sa bibliothèque était à la même hauteur que le lit, lui permettant d'entreposé toute sorte de chose. Elle enfila son pyjama et se lança dans son lit. Elle attrapa son livre préférer, "L'Heure du Loup", et reprit le passage qu'elle adorait: Celui où le héros, Michael Galatin, réussissait enfin à se transformer en loup, pour aider son ami, loup-garou lui aussi, au prise avec un loup énorme. Il imagina sa main se déformant...La douleur fusa dans son bras...il avait réussit... La jeune fille sursauta quand son doigt se couvrit de fourrure noire. Elle interrompit le processus. A fond dans le livre, elle avait elle aussi enclenché la transfo'. "ALAN! -J'arrive maman!" Elle sauta de son lit et grimaça quand elle rata son atterrissage, produisant un boum! en touchant le carrelage. -Et, la grenouille, tu te calme! Serrant les dents, elle alla s'assoir à table. Et son père se mit en face d'elle, imitant la grenouille dès que sa femme avait le dos tourné. Ignorant son père et son frère, elle regarda e que sa mère avait préparée. -Du poisson? Des haricots? -Oui, ça ne te va pas? -Heu...Si, mais tu avais dit que c'était steak-pâte, ce soir! -Ben j'ai changée d'avis! Répondit sa mère avec un grand sourire, -Maryse, tu as oublier que les grenouilles, sa mange pas de poissons! -Papa, maintenant, tu arrêtes! J'en ai ras le bol de tes blagues a deux sous! Hurla Alan, -J'suis mort de peur! Alan se leva, renversant sa chaise. La transformation voutait ses épaules et son dos se couvrait déjà de poils. Sa picotait, mais pour l'instant, ce n'était pas déplaisant. -Ha bon? Tu devrais... Et elle se laissa à la métamorphose. Son dos et ses côtes craquèrent, son crâne lui sembla prit dans un étau invisible, son nez rejoignit sa bouche pour former un mufle canin. Sa mère quand ses épaules changèrent de formes et de place. Son bas de pyjama se déchira quand une queue se déroula en bas de sa colonne vertébrale. En une minute et trente-trois seconde, Alan était devenu Orage. La transfo' faisait mal, mais le sentiment de puissance quand on devenait un loup la rendait supportable. Elle claqua ses mâchoires et se planta face à son père. Il était debout, les yeux écarquillés. Dimitry et leur mère s'étaient déjà sauvés. Après un instant d'hésitation, le père les suivit. Orage soupira. Elle avait craquée. Après dix ans de moquerie, elle avait craquée. Se secouant pour faire tombé les lambeaux de vêtements, et bondit dans un fauteuil et attendit que sa famille sortent des toilettes où ils s'étaient enfermé.
Après une demi heure, ce fut son père, qui sortit en 1er. En la voyant, il poussa un petit cri. Elle leva les yeux vers lui puis détourna la tête sans le perdre de son champ de vision. Dimitry se glissa derrière lui, suivit de Maryse. Orage ne leur accorda aucun regard, se contentent de rester allongé sur le canapé. Finalement, pensant qu'ils étaient suffisamment en confiance, elle descendit de son perchoir et s'assit. Dimitry s'accroupit à sa hauteur. Et protesta quand son père le releva en jurant: -Bon sang, Dim', va pas te faire croquer! Maryse dit d'une petite voix: -Mais...Roy....Tu l'as vu, c'est Alan... -Maryse, ce n'est pas notre fille! C'est un démon! -Roy! -Où est notre fille!? Démon, vas-tu nous la rendre!?! Orage soupira. Bravo l'entrée. Elle se leva et commença la métamorphose. Par prudence, elle commença par ses pattes arrières, les os de ses pattes arrière s'allongeant, elle continua par son bassin et par son torse. Et resta un moment en suspend, corps de fille et tête de louve. Puis, finalement, sa tête reprit ses dimension et son aspect normal. ~*~
Une semaine s'était écoulée depuis l"annonce". Orage se tenait derrière le magasin, un petit sac de cuir entre les crocs. Elle déposa le sac et se re-transforma. Détachant le cordon de tissus qui maintenait le sac fermer, elle sortie et enfila ses vêtements, puis passa son manteau. Avec la capuche. Non pas qu'elle en ai besoin, mais son père s'était opposé à cette sortie. A toutes les sortie d'ailleurs. Surtout que le livre qu'elle comptait acheter n'avait pas un titre très encourageant..."Les Chroniques du Loup". Elle n'aurait sans doute pas dut dire le titre en présence de son père... Qui l'avait consignée dans sa chambre. Et que pouvait une fenêtre contre une jeune fille? Ben rien du tout. Aussitôt, elle s'était emparée du sac en cuir que ses parents prenaient pour les randonnées. Au moins, le cordon de tissus résisterait à ses crocs. Elle se glissa entre deux personnes. Et se figea quand l'une d'elle lui sourit. Elle s'empressa de se sauver et atterrit dans le rayon lingerie. Se faufilant, elle réussit à atteindre une cabine d'essayage. Tirant précipitamment le rideau, elle s'affala sur le tabouret placer à un coin de la cabine. Et souhaita être très très bien cachée. Car l'homme, ou plutôt le garçon, qui lui avait sourit était Fabrice, celui qui l'avait mordu. Seize ans, blond, le jeune loup-garou l'était depuis ses quatre ans. Il avait un contrôle total de son corps de loup et était d'ailleurs un mâle Alfa, un chef de meute. Sous sa forme de loup, il mesurait quatre-vingt-dix centimètre à l'épaule pour une bonne soixantaines de kilos. Un colosse parmi les loups. Si sa vue avait provoquée une aussi vive réaction chez Alan, ce n'était pas parce qu'il l'avait mordu, cela, elle s'en fichait. Elle lui avait même un peu forcée la main...le croc. Non, c'était parce qu'il lui avait donné un an pour rejoindre sa meute, sans quoi, il l'a tuait. Et ce un an se finirait en même temps que l'hiver... Et Alan ne voulait absolument pas rejoindre une meute composée de garçons uniquement. Autant dire qu'elle serait... la reproductrice de la meute.
"Hem...Mademoiselle? Tout va bien? Alan se réveilla en sursaut. Elle sortie de la cabine comme une tornade, manquant de renverser la vendeuse qui était devant le rideau de tissus. -Quelle heure est-il?! S'écria la jeune fille, -Dix-neuf heure quinze, Déclara la vendeuse -Merci!" Et elle s'éloigna vers le rayon des livres. Caressant presque tendrement les couverture des livres qu'elle parcourait, elle hésita un moment devant un livre de loup-garou. Le saisissant, elle en lut le dos puis le reposa, dégoutée. Ce type-là ne sait même pas de quoi il parle! Elle finit par trouver celui qu'elle cherchait. Elle en lut rapidement le dos et hésita. Internet, c'est bien, mais ça ne dit pas tout. Elle le reposa. Et son œil accrocha une couverture brillante, noire et rouge, qui la fit frémir. S'approchant, elle découvrit un œil de loup, à la pupille noire d'encre et l'iris rouge. Le titre, écrit en doré, disait:"La Lune Rouge". Souriante, elle s'en empara. Rien qu'au titre et à la couverture, elle savait que ce livre allait lui plaire. La Lune Rouge... Comme dans "Wolf's Rain"...Quand elle en lut le dos, elle se figea. A part dans "l'heure du loup", jamais elle n'avait trouvé un livre qui décrive la métamorphose aussi profondément. A croire que l'auteur, Mia WhiteFange, était elle-même une louve. WhiteFange...ce nom me dit quelque chose...Mais oui! Dans "L'heure de Loup"! Michael prend comme couverture le Baron Von Fange...Fange...En anglais, fang! Croc! Cette femme était-elle vraiment une louve?! La question l'obsédait encore lorsqu'elle mettait ses vêtements et le livre dans le sac de cuir, avant de se transformer. Puis l'ivresse de la vitesse la prit et elle l'oublia.
Deux jour plus tard, Alan apprit qu'elle déménageait dans le débarat, remit en état et qui lui servait maintenant de chambre. Comme si elle allait croquer son frère dans son sommeil. Merci de la confience!
2: Presence attentive Patte de veloure Tentation
La violence ne résoud rien. Alan s'était toujours moquée de cette maxime, car sa violence lui servait bien....enfin jusqu'à maintenant. En rentrant chez elle, elle avait aussitôt commencer le livre. Il détaillait de façon étonnante les différantes étapes de la transformation, comment elle changeait les muscules et les tendons de place, comment elle modifiait les cellules. Et manque de pot pour la jeune fille, son frère était entré au moment où elle posait le livre. Il l'a prit et à sourit. Et surtout, est partit avec. Alan avait piquée une jolie petite crise de nerf car elle avait horreur qu'on touche à ses livres, à un point qui se rapprochait de la folie. Généralement, celui qui avait osé se retrouvait avec un genou à l'entre-jambe, une main lui écrasant le cou, l'autre sur le livre. Et, vu que souvent ceux qui lui piquaient ses bouquins s'enfuyait, elle était obligée de les prendre de dos. Facile pour elle, moins pour eux. Et souvent, elle était sur sa proiie sans qu'elle même ne s'en soit rendue compte. Mais là, elle aurait dut réfléchir avant d'agir. Comme son frère était plus grand qu'elle, elle avait été obligée de s'accrocher à ses épaules, mais son coup de genou, lui était parfaitement à la bonne taille. Il grimaça et lui balança un coup de coud dans les côtes. Qu'elle sentit à peine. Mais la pression de son genou s'accentua. Et son frère fini par pousser un cri mi-rageur mi-de douleur avant de se débarasser d'elle et de se cogner contre Roy, qui était venu dès que son fils avait crié. "Qu'est-ce que tu fou, encore?! Dimitry dissimula le titre du livre et dit: -Elle m'a piqué mon livre. Je venais juste le reprendre et elle m'a...attaquée. Devant ce mensonge, Alan vit rouge: -De un, c'est mon livre, j'ai d'ailleur la note de paiement qui le prouve. De deux, t'es entré sans frapper et tu te casse avec mon livre alors j'ai une bonne raison de t'avoir attaqué! Roy attrapa son fils par l'épaule et dit à sa fille: -Dans ta chambre. Et ne vole plus jamais ton frère!" Elle fut si abasourdi qu'elle s'assit sur son lit sans protester. Et se rattrapa largement quand son père ferma la porte. Elle la fit...exploser. En rentrant tête baissée dedans. Et en plus, en commencent sa transformation. Tout le monde hurla dans la maison parce que la jeune fille avait aussi emboutit le mur du couloir, ce qui avait générer beaucoup de poussière et une tappisserie en lambeau. Ha et une grosse frayeur pour sa famille. Ce fut une Orage plus grise que noire et avec un fort mal de tête qui emmergea des restes de la porte et de la tapisserie. Elle sentit quelque chose sur so dos et et jura. Un loup couvert de poussière, ok, sa peut faire peur. Mais un loup couvert de poussière et d'un reste de tapisserie bleu à fleurs roses, nettement moins. Elle se secoua et claqua des mâchoires, dardant le feu bleu de ses yeux sur son frère. Qui comprit desuite ce qu'elle voulait. Et ne comptait absolument pas lui rendre. Il voulait être un loup. Mais pas pour en être un, pour faire peur, être quasi-invinscible, enfin tous les trucs de psycopathes/sociopathes/truccomplètementdingue. La louve noire/grise- tapisserie bondit et referma ses crocs sur la main du jeune homme. Il poussa un cri et lâcha le livre. Sa soeur l'attrapa et se sauva. Elle défonça la porte d'entrée sous le regard étonner de deux passants. Ben quoi? Elle n'avait pas eu le temps de l'ouvrir!
Une masse clair lui tomba dessus. Elle venait de pénétrée dans la forêt qui s'étandait près de chez elle. Et dès qu'elle y avait poser un pie...une patte, un machin très lourd et très blond s'était abattut sur ses épaules, manquant de lui faire lâcher le livre qu'elle sérrait dans ses mâchoires. Elle se tortilla et réussit à échapper en partie au poids qui la clouait au sol. Quand elle put enfin voir le visage de son agresseur, elle gronda et jappa a travers le livre: "Fabrice! -Alors, coincée? Le loup blond souriait de ses quarante-deux crocs aiguisés. Et Orage était partagé entre la peur et la fureur. Cette dernière l'emporta et le loup blond se retrouva jeter sur le flanc, tandis que la louve noire se relevait. Elle regarda Fabrice se relever, déposa son livre entre ses pattes avant et lâcha: -Tu veux quoi?! -Tu le sais déjà! Que tu fasse partie de la meute! -Ouai, que je serve de....reproductrice, tu veux dire! En plus, je sais que les bébé loup-garou ne survivent pas à leur première métamorphose! Alors je te redonne ma réponse: NON! -Tu changera vite d'avis... Il aboya et trois loups mâle se glissèrent entre les buissons. Un roux, un gris et un blanc. Orage se dit que finalement, une réponse d'option lui apparaissait: la fuite! Et se reprit. Ils étaient tous les quatres des adultes. Elle n'avait que quatorze ans. Mais elle avait quelque chose qu'ils n'avaient pas: sa souplesse. Se mettant en mode mi-louve mi-humaine, elle ramassa le livre, bondit dans un arbre et s'accrocha à une branche. Elle passa ensuite au suivant. Fabrice rugit et se mit en mode mi- comme elle. Elle sentait son souffle sur sa queue, ses mâchoires claquaient à quelques centimètres de ses pattes. Jamais elle n'avait eu aussi peur. Fabrice gronda. Elle était rapide, mais il l'était encore plus. Quelques centimètres et... Elle disparut. Purement et simplement. Il poussa un aboiement de colère puis huma l'air. Aucune trace d'elle ne parvenait à ses narines. Après un dernier hurlement rageur, il s'éloigna. Orage n'oseait plus respirer. Un énorme loup noir venait de bondir des arbres pour la plaquée au sol, dissimulant la jeune louve aux yeux et a l'odora de ses énemis. Quand les loups furent partit, le mâle au long pelage d'encre la regarda droit dans les yeux et elle se figea. Comment un loup peut-il avoir des yeux couleur de glace? Puis il bondit et disparut, ne laissant aucune odeur dans l'air, aucune trace dans la terre. Orage se remit sur ses pattes et esseya de le pister mais rien n'y fit. Elle fit alors demi-tour et sortit de la forêt, le livre encore serrer entre ses crocs.
- Alliana et SandStorm:
[pas d'image pour l'instant] La nuit perlait au bord d'un rideau de lumière. Ce dernier se replia lentement avant de sombrer dans le fleuve de nuit qui s'écoulait doucement. Le feu se dressa en l'air. Les cris et les chants des villageois retentirent dans la vallée. Ils ne se turent que lorsqu'une voix cria: « Loup en vue! » Tout se mua alors en chaos gigantesque. La nuit vrombissait de hurlement, seul une personne resta parfaitement calme, assise au coin du feu. C'était une petite fille, d'à peine six ans, aux yeux vert et aux cheveux roux. Elle fixait les flammes avec attention. Quand sa mère lui prit sa main, elle se dégagea d'un mouvement impatient et montra le feu d'un doigt: « Regarde, maman, un cheval dans le feu! » Mais la mère eu beau fixer les flammes, aucun cheval ne vint percer en percer le rideau. Sans plus attendre, la jeune femme attrapa sa fille et l'emmena dans leur maison de bois. La fillette ne cessait de sangloté en couinant: « Mais il y avait un cheval dans le feu! »
La bête jaillit des buissons, brûlant tout sur son passage, les loups sur ses talons. Les hommes, armés pour le combat, n'en crurent pas leur yeux: un gigantesque cheval-phœnix, poursuivit par les loup-ombres, caracolait dans leur village, détruisant des maisons au passage. Ne sachant qui attaquer entre la bête fantastique et les monstres ombres, les hommes du villages tuaient autant de loups qu'ils le pouvaient tout en essayant de faire fuir le cheval–phœnix. Mais celui-ci n'avait pas l'intention de partir. Il s'immobilisa devant une maison et refusa de bouger. Les hommes finirent par repousser les loups. Femmes et enfants sortirent dans la rue voir le cheval fantastique dresser devant l'une des maisons telle un feu impatient. La petite fille et sa mère sortirent alors de chez elles. Mais si l'une hurla de terreur devant le corps enflammé devant sa porte, l'autre se précipita entre ses jambes, nullement affectée par le feu destructeur de l'animal. Le village entier retint son souffle devant ce prodige. La fillette était une descendante des Coureur du Feu, les chevaliers qui utilisaient les chevaux–phœnix pour compagnon.
________________________________________________________________ Celles ci, je ne les continue pas. Je les écrit sur un coup de tête :p - Loup noir:
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Le sang de sa blessure fit ressortir une chose longtemps enfouie en moi. Une chose que j'avais par deux fois déjà, réveiller. Et tendis que la haine se déroullait en moi, la puissance destructrice me fit frémir. Je fixai le sang qui goutait le long de sa patte. L'odeur me fit me herrisser. Il tituba. Avec un grondement de fureur, je me jetai sur le garçon. Il m'avait pourrie mon année scolaire, il avait blessé Démon. C'en était trop. Le sang dégoulinait le long de sa patte, passant entre les coussinets. Il n'avait même plus la force de se remettre en homme. Puis ma haine et ma puissance furent à leurs maximum. Avec un hurlement de rage, je me jetai sur lui. J'essquivai un coup de couteau. Mordit son bras alors qu'il tentait de me faire reculer. La douleur me prit dans le dos. Un coup de pied et son tibia manque de se briser. Je grognai. On se seppara. Un coup d'oeil m'appris que la collège entier était autour de nous. Quelque chose me frappa: Il avait blessé Démon! Lui qui était impalepable, il avait été blesser. Et Maxime n'en avait pas du tout conscience. Son couteau ne portait que la trace de mon sang. La Principal du collège hurlait. Les Pions essayaient de s'approcher, vite dissuadé par nos regards. Si quequ'un essayait de nous séparer, il en pairait le prix. C'était aujourd'hui ou jamais pour moi. Aujourd'hui, je pourrais me venger de ces sept mois d'insultes et de méprit. Sentant ce que je voulais faire, Démon gronda. Je le regardai un instant et ses yeux rubis emplit de douleur se fixèrent dans mes yeux gris-bleus, emplit d'une envie de vengence. Sentant ma déconcentration, Maxime s'élança. Il ne rencontra que le vide. Je l'avais vu venir et m'était accroupie au dernier moment. Poussant sur mes jambes, je lui rentrai en pleine dans le ventre. Je me relevai vite fait et évita un coup de couteau. Un prof' se précipita vers lui, mais le regard que je lui lançai l'en dissuada. Et je me mit à tourner autour de Maxime, essquivant ses coups et attendant une érreure de sa part. Qui ne tarda pas: Il s'appuya sur la main qui tenait le couteau pour se relever. Sans hésiter, je lui écrasai les doigts. Il hurla et me mit un coup de poing dans le tibia. La douleur fusa et je retirai mon pied, shootant sa main pour l'empêcher de reprendre l'arme. D'un deuxième coup de pied, j'envoyai valdinguer le couteau. Il se releva et essaya de me frapper. Il y arriva à moitié, me flanquant la moitié d'un poing sur le haut de ma tête. Et cette énième douleur me fit perdre le contrôle. Totalement. Sans aucune retenue, je lui bondit dessus, le plaquant au sol. Je pris une de ses mains et la mordit. Jusqu'au sang. Il hurla. Je lui plaça un bon coup de poing dans son nez, qui se mit à saigner abbondemment, me relevai et reculai, le laissant au Pions et à la Principal. Mon dos se rapella à moi quand l'entaille me brûla. Passant la main dessus, je fut soulagé quand je m'apperçut que ce n'était à peine plus profond qu'une égratinure. Je m'affala au sol prêt de Démon et passa ma main dans son pelage de jais. Je gémit. Personne d'autre que moi pouvait le voir, le toucher. Il se redressa en titubant et s'allongea contre moi. Son épaule transpércée suintait. -Transforme toi en chat, lui murmurai-je, Il me fixa et fit un effort pour y parvenir. Ses contours se brouillèrent tendis qu'il luttait pour y arriver. Une fois stabilisé en sa forme de matou, je le pris, et, veillant à ce que personne ne me vois, je me dirigeai vers les toilettes. - Attandez, vous êtes blessée! Je m'enferma vite fait dans les toilettes des filles, tournai le verrous. Je me glissai dans une des cabine et la fermai à clef. Enlevant mon deuxième tee-shirt, je mit Démon dessus. Sa transformation flancha et il réapparut sous sa forme de loup. J'examinai la blessure. Malgré sa pronfondeur, elle ne nécessiterait pas de sutures. Le flot sans fin de sang qui en coulait était nettement plus inquiétant. Je sorti mon mouchoir de tissus, remerciant ma mère qui m'obligeait à en avoir au moins un dans mon sac. L'enroulant autour de ma main, je serrai le poing et l'appuyai de toutes mes forces sur la plaie. Des coups se firent entendre à la porte des toilettes. Ils n'allaient pas tarder à trouver une clef pour l'ouvrir. Grimaçant, je retirai doucement ma main. Aussitôt, le sang recommença à couler, quoi que plus lentement et je remis ma main à sa place. La porte des toilettes s'ouvrit alors en grand. Je tremblai. -Alan, ouvre la porte et sort. C'était ma prof' d'Anglais, celle que je déteste le plus. -Non! Fichez moi la paix! -Aller, ou nous l'ouvrirons! Choisis! Démon me regarda et je vis dans son regard le reflet de ma peur. Elle ne verrait pas Démon. Elle me ferait sortir et il resterait là, tout seul, sans doute abandonné à une mort certaine. -Alors? J'ésitai. -De toute façon, elle t'emènera. Va-y, je te retrouverais. Promis. J'inpirai profondément. Il avait raison. Laissant mon mouchoir sur son épaule, je l'enjambai et ouvrit la porte, veillant à ne pas le toucher avec. La prof' d'Anglais me signe de la suivre. Me retournant une dernière fois vers Démon, je lui obéis. Elle me conduisit à l'infirmerie pendent que la Principal prévenait ma mère. Ma mère fut au collège en un quart d'heure, alors qu'elle aurait dut mettre une demi-heure maximum. Elle hurla après la Principal et j'en profitai pour m'eclipser. Enfin, essayer car dès que j'eu posée un pied dehors, ma mère sortait tel un ouragan et je dut la suivre. Il avait relevé la tête quand elle était sortie, mais il ne pouvait plus faire un mouvement. Il lança un gémissement et ferma ses yeux rouges comme le sang qui coulait de son épaule. Il l'avait sauvé en se jetant devant le garçon qui avait tenté de la poignarder parce qu'elle lui avait mit une patée, le jour d'avant. Sans lui, elle serait morte. Sans elle, il allait mourrir. Il ne sut combien de temps avait passé depuis qu'elle était partie. Dans un sursaut de détresse, il réussit à se mettre sur ses pattes et à ramper vers la porte d'entrée des toilettes, restées ouvertes. Il lui avait promit de la retrouver. Ses pattes se dérobèrent sous lui et il gémit. Il allait faillir à sa promesse. Je fixais le collège qui rapetissait à mesure que maman roulait. Je regardais par la fenêtre, l'extérieur vide alors qu'avant, il courrait au hauteur de la voiture, sous sa forme de loup géant. Je retins un sanglot. J'avais promis que je ne pleurerais plus. Maman garra la voiture. Quand j'en sortie, elle dit: -Je comprendrais si tu ne veux pas aller au collège, demain... -Si, je veux y aller, -Très bien, je rentrerais à...Quoi!? -je veux y aller, Répétai-je en claquant la portière. Et sans laisser le temps à ma mère de protester, je montai quatre à quatre les marches de l'immeuble jusqu'au premier étage, ouvrai la porte avec ma clef et me lançai dans mon lit. Non, il n'avait jamais trahis sa parole et n'allait pas le faire maintenant. Il rampa, sortant des toilettes. Puis ses pattes le trahirent de nouveau et il resta planté là où il était. Sans pouvoir bouger. Peut-être que si, finalement... Jamais je ne mettais habillé aussi vite. J'aillais ouvrir la porte de ma chambre mais ma mère entra et me dit: -Aujourd'hui, tu restes ic. -M...mais, non, je dois... -Tu restes ici un point c'est tout! Et elle sorti de la maison et ferma la porte de l'exterieur. Je pestais comme elle n'avait pas laisser le double des clefs dans la maison. Et pour la première fois, trahis ma prommesse en laissant les larmes couler sur mon visage. Il n'allait pas tenir jusqu'à la deuxième heure de cours. Où était-elle? L'avait-elle crut mort?! Un gémissement lui échappa. Quoi qu'il en soit, il l'attendrait. Mais il n'allait pas tenir très longtemps et la blessure de son épaule saignait encore. C'était bizarre. Cette blessure, profonde de cinq milimètre maximumu, et longue de dix centimètre, n'aurait pas dut saignée ainsi. C'est alors qu'il comprit. Ce n'était pas uniquement lui qui perdait du sang, mais ses quatre transformations, et il n'avait pas assez de sang pour quatre blessures... C'était finis. Tout était finis. Jamais je ne pourrais savoir si Démon était encore en vie et même si il l'était, dès ce soir il ne le serrait plus. Je me laissai tombée dans le canapé, ressasant toujours la même pensée: C'est finis. Il va mourrir, c'est finis...
- le corbeau et la lune:
Une demi-lune d'argent luisait au-dessus de blocs de pierres couverts de mousse. Un éclats froid perçait la forêt et aucun son ne parvenait à éclater le silence pesant. Un mouvement fit alors son apparition. Une flèche noir se posa sur l'un des blocs de pierre dans un froissement de plumes. Le bec noir d'encre et les petits yeux de jais, poser sur une tête couleur de nuit, brillaient doucement sous la lueur de la lune. Le corbeau ne bougea pas d'un pouce, n'ouvrit pas le bec et pourtant, une voix s'élança dans l'argent de la nuit et nul n'aurait put douter que le corbeau, d'une manière ou d'une autre, parlait. Mais il avait beau déclamer un flot de paroles, personne n'aurait put les comprendre. Cette langue était plus profondes qu'aucune autre entendu par quiconque ce soit de notre temps. La lune atteignit son point culminant. Ses rayon d'argents frappèrent le corbeau de plein fouet et l'oiseau poussa un cri perçant, comme si ces rayons le blessait. Il perdait ses plumes, sont bec tomba, ses pattes éclatèrent et ses yeux gonflèrent. Mais sous les plumes apparaissaient un pelage de jais, sont bec devint museau et ses serres, des griffes puissantes. Ses yeux de jais devinrent des yeux d'or pur. Sa courte queue devint une longue et fine queue souple. Seul demeurait ses ailes, bien plus grande qu'avant, fixées sur le dos souple de la bête. D'un mouvement fluide, elle descendit du rocs et poussa un feulement féroce. La panthère partait en chasse...
- Chat ailé:
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Deux oiseaux voletaient dans un ciel bleu immaculé. Sans attendre plus longtemps, le jeune matou gris bondit de son arbre. Il étendit ses ailes, battit violemment et manqua de s'écraser au sol. Il feula quand ses pattes heurtèrent le roc où il avait prévu d'atterrir. Il se releva et se secoua. Se plaçant dos au vent, il inclina le bord d'attaque de ses ailes de manière à prendre le souffle frai. Les plumes se gonflèrent, emprisonnant des coussins d'air. Lentement, il leva ses ailes, le bord d'attaque toujours incliner, puis les abaissa en un mouvement rotatoire. Il senti ses pattes se soulevée. Ravi, il recommença, d'abord lentement, puis de plus en plus vite. Quand il sentit qu'il était prêt, il s'accroupit, banda ses muscles, tendit ses ailes puis bondit de nouveau. Ses ailes effectuaient de petits cercles rapides. Il montait lentement dans les nuages. Quand il regarda en bas, le roc n'était plus qu'une tache grise dans l'herbe jaune. Il se mit à planer. Et plaqua ses pattes avants contre son ventre quand un courant d'air contraire se prit dans ses pattes, auparavant tendue. Instinctivement, il inclina son aile gauche, tourna sa queue dans le sens du virage et fit demi-tour. La magie opéra alors. Sa queue se para d'une touffe de plumes brunes, son museau s'affina, ses ailes s'allongèrent un peu, ses pattes arrières devinrent plus puissantes et ses yeux, plus perçant. Il poussa un long miaulement de bonheur puis monta encore un peu. Quand il fut à la bonne hauteur, il rabattit ses ailes et plongea. La vitesse le grisa, il voyait le sol se rapprocher à toute vitesse mais n'en tint pas compte. Puis il fut trop près et redressa son poitrail, arqua sa queue et déploya ses ailes d'un mouvement vif. Il battit un peu ses ailes fauves puis se remit à planer. Il vit un aigle, en dessous de lui. Le rapace se dirigea vers le camp de son Clan. Le matou prit sa décision dès que le rapace fut au-dessus du camp. Il sortit ses griffes, plongea de nouveau et percuta le dos de son ennemi. L'oiseau essaya de lui donner plusieurs coup de bec mais il s'arrêta quand il vit qui l'attaquait: un chat ailés! Le jeune matou en profita pour le tuer d'un coup de croc à la nuque et de gonfler ses ailes pour remonter. Mais ses ailes ne supportaient pas le poids de l'oiseau plus du sien et il continuait de tomber. Il essaya une dernière fois de remonter puis lâcha sa proie. Il n'était plus qu'à quelques mètre du camp et voyait plusieurs chats le regarder en hurlant. Une fois l'aigle lâcher, il réussit à remonter. Épuiser, il chercha un arbre ou un roc où se poser. Il fini pas atterrir dans une clairière. Un atterrissage parfais. Mais dès qu'il toucha le sol, la magie se retira et toutes ses transformation cessèrent. Il replia ses ailes fauves et elle disparurent sous sa peau. Il ne broncha pas. Sa faisait mal, mais c'était indispensable si il ne voulait pas que les autres le découvre. Il se glissa entre les buissons, se demandant comment le Clan avait réagis en voyant un aigle se faire tuer par un chat ailés. Il sourit. Ils allaient dire qu'un membre du Clan des Étoiles était venus les sauver. La foi explique tout, pensa-t-il...
- Renard et loup, paradis retrouver:
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Un torrent de feu s'abattit sur ses épaules. La douleur fut telle qu'elle hurla. Un nuage de cendre l'enveloppa et Saphir hurla. La petite louve ailée bleue venait de voir disparaître Rubis, sa meilleure amie depuis des années. Elle se hérissa et gonfla ses ailes, prête à plongée dans les flammes mortelle mais un éclair aveuglant en jaillit et elle dut se protégée les yeux. Quand elle put les rouvrir, un spectacle comme elle n'en avait jamais vu l'attendait: un fleuve gris-bleu serpentait dans une clairière verte, des montagnes se dressaient tout autour. Un léger vent fit dresser les plumes de la jeune louve et elle s'envola sans y penser. D'un coup, elle se rappela Rubis et hurla son nom. Seul un battement d'aile vif lui répondit. Elle leva la tête, étonnée, et vit Rubis! La petite mi-renarde mi-louve sans aucun pouvoir volait! Ses ailes rouges battaient plus souplement que la louve. Cette dernière remarqua deux choses: son amie avait de nouvelles marques sur elle, les marques du feu et sa queue avait grandit démesurément, devenant aussi longue que celle de Saphir. Les deux amies voletèrent ensemble pendant un long moment puis Rubis dit: « Tu sais où nous sommes? -Non... -Au Rakuen! Nous y sommes enfin! On a réussit! » La jeune louve n'en croyait pas ses oreilles: Elles étaient au Rakuen! Après des mois de recherches, elles y étaient! Rubis laissa échappée une petite langue de flamme et Saphir lança un grand coup de vent pour les faire accélérée. Leur rêves s'était réaliser. Tout était bien.
Dernière édition par Plume d'Orage le Sam 22 Jan - 19:26, édité 8 fois | |
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